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AltaVista

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Alta Vista was once the most popular search engine, and for a while ranked closely behind Google and Yahoo. From 1995 until its purchase by Yahoo in 2004, it was recognized as one of the best search engines to use, and its Advanced Search features have never been replicated by any major search engine since. It actually became a search engine by accident as Alta Vista was designed by Digital Equipment Corporation to host a new line of servers.

History

'Alta Vista became a very popular search engine because the sophisticated crawler could cover more web pages than any other. This made it the first full text database on the World Wide Web. Today more than 15 million hits take place on Alta Vista each day. Many people choose Alta Vista because it offers advanced digital searching and continues to update features as technology allows.

Other notable accomplishments of Alta Vista include being the first to offer a multi lingual search capacity. These languages include English, Spanish, Chinese, Japanese, and Korean. They system is also designed to translate a variety of languages including English, Spanish, French, German, Portuguese, Italian, and Russian. With people all over the world using the internet these features help reduce the geographical barriers. Alta Vista was also the first search engine to offer video and audio capabilities.

In February of 2003, AltaVista was purchased by Overture, which was in turn purchased by Yahoo in August, 2004. Yahoo replaced the AltaVista search engine with its own results shortly therafter.

Features

Using the Alta Vista search engine is very simple. While a great deal of technical processing is going on behind the scenes, all you will see is a well laid out webpage that quickly provides you with the results you are looking for. Type the keywords into the search box. You can narrow the search to the USA or allow a worldwide search to take place. There are also advanced search settings to choose from including all words or exact phrases. You can also choose to get your results in text, images, MP3/audio, video, or news.

Do you have some text that you need translated? It can be very expensive to pay for translation software, especially if you don’t use it very often. Alta Vista offers the Babel Fish Translation. Simply enter the text or even a webpage into the section and choose the language to translate to. This is a free service offered by Alta Vista.

There are many other features that Alta Vista offers for free as well. The toolbar provides you with the search tools you need especially if you spend a great deal of time conducting research or translating. This toolbar also features a pop up blocker as we all know how annoying they can be.

The Directory

The Alta Vista directory is updated continually, so you will always have access to the most current information available on the World Wide Web. You will find a general directory as well as one designed specifically for shopping and one just for travel. The yellow pages and people finder make getting a number or an address very simple and convenient. Since Alta Vista has the most up to date information you will have the best chances of finding newer listings here than anywhere else.

To make sure you are getting the results you are looking for, Alta Vista offers you the opportunity to customize the settings. The Family Friendly Filter ensures content you don’t want your children viewing can’t be accessed. I have found that some graphic sites have names very similar to children’s sites so if they misspell or mistype the wording they can get access to a site I prefer they don’t see. Alta Vista adds security against this.

Mission

Alta Vista is dedicated to providing internet consumers with fast and reliable information on any subject they desire. Yet this information is easy to access and to customize with features you won’t find offered on many other search engines. The larger the World Wide Web becomes, the more vital these types of features become. Alta Vista understands this and offers a team of engineers who strive to us technology to bring the complexity of the internet to a simple click for you.

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La violence Une pseudo-émotion


| Avant d'imprimer ce document | Mise en garde | | Les quatre types d'expériences émotives | Pour explorer d'autres expériences émotives! |


Des exemples


Mon adjointe est colérique. Elle devient facilement très blessante dans ses propos. Il est très intense; cela m’impressionne et je le trouve violent. Son père le dénigre et le ridiculise continuellement. Il arrive à mon mari de me frapper lorsqu’il est hors de lui.

Qu'est-ce que la violence ?

La violence est synonyme d’agressivité à outrance. Elle a la même étymologie que “violer” c’est-à-dire, enfreindre les limites. La violence consiste à agir sur quelqu’un ou à le forcer, contre sa volonté, en utilisant la force physique ou psychique. L’usage de force se fait en frappant ou en intimidant, en infligeant des blessures physiques ou morales.

De plus, il y a une forme d’abus ou de tricherie dans la violence. Cette fourberie est vécue comme une trahison lorsque c’est un proche qui nous violente.


Dans l’exemple 2, le parent qui dénigre son enfant abuse de son statut pour le blesser là où il ne possède aucune défense. Ce genre d’attaque à l’intégrité psychique est pernicieux et fait souvent plus de mal qu’une blessure physique. Contre un coup, l’enfant peut au moins se débattre.

De même, le conjoint battu ne peut plus donner sa confiance à son partenaire. Ce dernier a abusé de sa force pour obtenir ce qu’il voulait, trahissant ainsi le contrat implicite d’égalité entre eux. Il n’est pas facile de déterminer si un comportement est violent ou non. Pour y arriver, il faut examiner l’action concernée de deux points de vue: celui de la personne qui subit et celui de son auteur. Ces deux dimensions ne concordent pas toujours et il arrive que quelqu’un soit violenté sans que l’auteur n’ait fait preuve de violence.


Le point de vue de celui qui l’exerce Faire preuve de violence, c’est tenter d’atteindre mon but en utilisant la force pour contraindre l’autre. Mais pour que l’on parle de violence, il faut aussi que j’aie l’intention d’enfreindre ses limites et de le forcer. Blesser quelqu’un par inadvertance n’est pas un acte de violence. Le frapper volontairement, même à cause d’une perte de contrôle, constitue au contraire une manifestation de violence (exemple 4).


Le point de vue de celui qui subit Il faut distinguer deux volets chez celui qui subit la violence. تtre violenté c’est d’abord subir une atteinte à mon intégrité physique ou psychique. Cette atteinte est déterminée par deux facteurs: “la nature du geste de l’interlocuteur” d’une part et mes “limites personnelles”, d’autre part. Pour qu’il y ait violence, le geste doit être “intrusif”, comme mentionné ci-haut. Quant aux limites personnelles, elles sont déterminées par la “capacité objective d’absorber l’expérience”.


La boxe, par exemple, est un sport rude. Mais les boxeurs ne font pas nécessairement preuve de violence l’un envers l’autre. Objectivement, ils ont tous deux choisi de s’impliquer dans un combat en respectant certaines règles, ils sont entraînés et sont de calibre comparable.

Il faut déployer beaucoup moins d’énergie pour faire perdre l’équilibre à un vieillard ou à un enfant en le rudoyant. Mais il s’agit d’un acte violent parce que ceux-ci ne sont pas “objectivement” de taille pour résister ou se défendre. Par contre, pousser vigoureusement son mari ou sa femme sous l’effet de la colère, n’est pas un acte de violence dans la mesure où il s’agit de deux adultes capables d’absorber ce coup.

Mais administrer une claque à la figure de son mari ou de sa femme pourrait sûrement être considéré comme violent. Ce n’est pas parce qu’ils sont physiquement incapables de l’absorber mais parce que le geste est humiliant; parce qu’il atteint l’intégrité psychique. En somme, il n’est pas facile d’établir les limites objectives lorsqu’on veut définir la violence. Elles sont souvent confondues avec les limites subjectives, comme nous le verrons plus bas.

L’atteinte à l’intégrité est un peu plus facile à déterminer. Le boxeur se fait molester, mais cela fait partie des règles du jeu. Sa personne n’est pas vraiment la cible des coups. Par contre, le joueur de hockey qui reçoit un coup de bâton à la figure est victime de violence. Le coup est une intrusion qui n’est pas autorisée par les règles du jeu et ne fait pas partie des attentes normales de celui qui choisit de jouer au hockey.

Ces distinctions mettent en lumière le fait qu’une personne puisse être violentée sans que le geste qui en est la cause ne soit vraiment violent.


Je lui marche sur le pied: c’est un accident. Il a très mal parce que j’ai exacerbé sa blessure: il est donc violenté. Mais le contraire n’est pas possible. Il tente de m’intimider avec des menaces pour que je ne dénonce pas sa fraude, mais il ne me fait pas peur. Son action est violente même si elle demeure inefficace.

ہ quoi sert la violence?

La violence est un moyen d’obtenir quelque chose qui nous échapperait autrement ou qui nécessiterait une plus grande dépense d’énergie. C’est un moyen d’arriver à nos fins en nous appuyant non pas sur nos propres forces, mais sur la faiblesse ou la vulnérabilité de l’interlocuteur. Il est plus facile de renverser une vieille dame pour lui voler son sac à main que de travailler pour gagner l’argent que nous lui arrachons.

La personne colérique m’utilise lorsqu’elle est très choquée plutôt que de faire l’effort de bien identifier ce qu’elle vit et d’en cerner l’importance pour elle (exemple 1). Au lieu de me donner accès à elle, ce qui l’impliquerait beaucoup émotionnellement, elle choisit de se venger en me blessant, ce qui fait de moi la personne la plus impliquée. Elle peut ainsi libérer une partie de sa charge émotive sans se rendre vulnérable. Mais au lieu d’émettre cette charge émotive elle-même, elle se sert de l’intensité provoquée chez moi pour passer son message. C’est un message qui passe rarement de cette façon, toutefois. L’exemple 4 illustre la même chose.

Avec la peur répandue des émotions intenses et le règne du “politiquement correct”, le terme violence est galvaudé dans les rapports interpersonnels. Les limites “objectives” étant difficiles à déterminer, on y introduit toutes sortes de distorsions et même d’abus.

Par exemple, c’est parfois notre incapacité de recevoir (ou ressentir) de l’agressivité qui nous amène à qualifier de violent un propos ou une personne. Mais la peur de la colère est-elle une limite réelle? Si elle l’est pour celui qui la vit, doit-elle le devenir nécessairement pour ses interlocuteurs?

Dans un rapport sain entre adultes, la réponse est négative. Mais il n’est pas facile de tracer la ligne. La capacité d’un enfant de recevoir de la colère n’est pas la même que celle d’un adulte mais quelle est la différence exactement? La capacité d’un nourrisson est nulle. Mais quelle est vraiment celle d’un enfant de cinq ans?

Lorsque nous tentons de museler la colère de quelqu’un parce que nous en avons peur, nous abusons de l’impopularité de ce terme. Et, paradoxalement, nous faisons alors nous-même acte de violence. Pour éviter de montrer notre vulnérabilité, nous tentons de contraindre l’autre à s’abstenir de s’exprimer d’une façon émotive. Il est souvent tentant de contrôler l’autre son je suis impressionnée par son intensité (exemple 2).


Violence et intensité La violence est généralement chargée d’intensité, mais l’intensité ne comporte pas nécessairement de violence (exemple 2). L’intensité marque le degré de force de ce qui est vécu. Une colère, comme une peine ou une joie, peut être très intense. La colère devient violente seulement lorsqu’elle implique une transgression de l’intégrité de l’autre. Celui qui casse des objets sous le coup de la colère fait preuve de violence envers ces objets, mais pas envers les personnes que ses éclats n’impressionnent plus. Celui qui terrorise son environnement quand il est mécontent, fait preuve de violence. Celui qui dit très fort sa colère, parce qu’elle est très intense n’est pas violent: il s’exprime avec intensité.

Cette distinction est extrêmement importante parce que la peur de l’intensité peut nous faire rejeter l’expression intense chez les autres (et chez nous-mêmes bien entendu). Or se priver d’une expression intense de colère, ou en priver les autres, c’est se condamner à ne pas pouvoir régler à fond nos conflits et partant, à garder sur le coeur des sentiments qui nous minent et détruisent nos relations.

Pour plus de détails sur la nature de la colère et la place de l’expression, voir “Agressivité et affirmation”, et “L’expression qui épanouit”.


Pour en savoir plus sur les quatre types d'expériences émotives!  
Pour explorer d'autres expériences émotives!  


Voyez aussi:

La puissance des émotions Par Michelle Larivey

ةditions de l'Homme, 2002 ISBN 2-7619-1702-2 334 pages, 26.95 $can

Préface Jacqueline C. Prud'homme, ts psychanalyste, thérapeute familiale

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